Ecoutez voir :
A l’aube de la Première Guerre mondiale, les premières famines avec “des marches de la mort” dans le désert, des déportations et exterminations envers le peuple arménien étaient perpétrées, c’était le premier génocide du vingtième siècle. Dans cette vision spectrale de l’horreur, un ange au chant mélancolique se devait de sauver quelques âmes dans un des charniers de ce génocide. C’est donc dans La Grande Roue de l’Histoire Universelle lointaine et aussi dans la petite histoire d’une Arménie contemporaine que ces âmes sauvées nous entraînent avec scrupules dans un espace-temps, où leurs inquiétudes se dévoilent “sur la place publique”, avec des lendemains incertains qui s’effilochent dans la “mondialisation” et dans la dispersion du peuple arménien…
A vrai dire aujourd’hui, je ne connais pas l’ordre des choses. Ni
comment ce monde tourne. DB.
Mise en scène et scénographie : Djamel Bahloul
Sur un texte d’Edmond Anemian
AVEC :
Edmond Anemian
Lilith Atenian
Léonardo Basmadyian
Christine Chevallier
Laëtitia Di Franco
Arpiné Kalachian (l’ange)
Damien Ladeveze
David Vialle